Dans les pas de… Albert Camus

Impossible de parler du romancier sans présenter ses 2 chefs d’œuvre : L’étranger et La peste.
Impossible de parler du philosophe sans évoquer Le Mythe de Sisyphe.
Impossible de parler du journaliste sans parler de sa dénonciation du colonialisme, du fascisme ou de l’arme atomique.
Camus, le gamin algérien dont la mère était analphabète et qui vouera une profonde reconnaissance à M. Germain, son instituteur.
Camus, le Parisien, l’amant passionné de Maria Casarès, l’homme de théâtre qui veut ouvrir les portes à un public défavorisé.
Camus le résistant de « Combat ».
On a essayé de coller des étiquettes à Camus : « le philosophe de l’absurde » ou encore « un saint laïque », c’est simplement un homme avec ses contradictions et ses grandeurs.
Le 4 janvier 1960, il est tué dans un accident d’automobile, dans la voiture de Michel Gallimard. Il avait 47 ans et venait de
déclarer : « Mon œuvre est devant moi… »
Celle qu’il laisse est déjà immense.
Présentation des œuvres, lectures, extraits des pièces, discours de Suède… vont ponctuer cette soirée.

Albert Camus
Philosophe, romancier, journaliste militant, dramaturge, essayiste et nouvelliste !
Prix Nobel de littérature en 1957